L’angioplastie malmenée ?
Malgré le peu de recul dont nous disposons, on peut se risquer à dire que l’année 2007 ne restera pas dans les annales de la cardiologie interventionnelle comme un cru exceptionnel : remise en question de la place de l’angioplastie dans le traitement de l’angor stable ou chez les patients tritronculaires, résultats en demi-teinte des registres « real life » sur la sécurité à long terme des stents actifs, place croissante de l’imagerie non invasive, etc. La conséquence, logique, se lit dans les chiffres : pour la première fois, le nombre d’angioplasties est en baisse par rapport à l’année précédente. S’agit-il d’un épiphénomène ou d’une vraie tendance ?
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