Le stent nu : le partenaire oublié

Même si en France, 50 % des endoprothèses implantées sont passives et qu’elles font l’objet d’un programme de recherche et développement important, elles sont étrangement absentes des grandes études randomisées qui font l’actualité des congrès et finalement peu mises en avant par les industriels. Un simple marquage CE suffit bien souvent à leur commercialisation, le marketing faisant le reste. En l’absence d’études comparatives, le cardiologue interventionnel est démuni d’argument objectif pour déterminer un choix pourtant fondamental. La rédaction de Cath’Lab a donc décidé de donner carte blanche à G. finet et G. Rioufol pour nous livrer le cahier des charges exigible et les paramètres à connaître pour choisir au mieux son endoprothèse. Une telle mise au point est donc, non dans sa forme mais par ses implications, forcément polémique. Bonne lecture. R. CADOR et P. DURAND