Publié le 01 mar 2016Lecture 1 min
« Les choses devraient être faites aussi simples que possible, mais pas simplistes » Albert Einstein
R. CADOR et P. DURAND, Hôpital Saint-Joseph, Paris
Les cardiologues interventionnels qui ont connu la saga de l’angioplastie des bifurcations ont forcément été ébranlés dans leurs certitudes en lisant la publication de Gérard Finet l’été dernier dans le JACC.
Comment peut-il ne pas en être autrement quand pendant des années le dogme du kissing balloon s’est imposé comme le gold standard en la matière ? Comment admettre qu’une solution plus simple soit plus efficace ?
À défaut d’études cliniques mal adaptées à ce type d’évaluation, au grand dam des partisans de l’Evidence Based Medicine, c’est grâce à un raisonnement aussi rigoureux que génial qu’une nouvelle logique s’impose à nous. Nous abandonnerons sans regret la friction des deux ballons dans le cathéter guide, les formations thrombotiques au contact de ce surcroît de matériel… jusqu’à ce que la démonstration d’une nouvelle technique ne soit faite et ne vienne prolonger une sage sans fin.
Bonne lecture
R. CADOR et P. DURAND
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