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Éditorial

Publié le 01 juin 2014Lecture 1 min

La défibrillation implantable n’est plus ce qu’elle était

A. LAZARUS

La prévention primaire a pris le pas sur la prévention secondaire, les patients sont mieux traités et les rythmologues ont appris à modifier leurs pratiques à l’aune des études récentes : on tâche de ne pas dégainer trop vite afin d’éviter des thérapies appropriées mais inutiles, sur des arythmies, par ailleurs, moins fréquentes.

En parallèle, les défibrillateurs ont évolué afin d’arrêter par stimulation ce qui autrefois motivait la délivrance de chocs, et de mieux discriminer une authentique arythmie ventriculaire d’un rythme supraventriculaire ou d’une anomalie technique afin d’éviter aux patients la délivrance de thérapies inappropriées. Une évolution positive.  Bon été. A. LAZARUS   

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